David LaChapelle naît le 11 mars 1963 dans le Connecticut, aux Etats-Unis. Très tôt, il est attiré par le grandiose, les mises en scènes, les femmes ultra féminines. Ce n’est pas un hasard si l’une de ses premières photos illustre sa mère en bikini, buvant avec ravissement un verre de Martini sur un balcon de Puerto Rico.
Adolescent, il ne peut se résoudre à une route conventionnelle. Son obsession de la photographie guide ses pas, ainsi il sort quelques années plus tard diplômé de l’école des Beaux Art de Californie du Nord. Attiré par les métropoles et leur dynamisme ambiant, il fait de New York sa deuxième maison et s’inscrit à l’Association des Etudiants d’Arts ainsi qu’à l’Ecole des Arts Visuels.
LaChapelle encense Warhol
Là, il se découvre une passion pour l’artiste Andy Warhol. Ses expositions avant-gardistes, ses portraits sérigraphiés fascinent le jeune David, qui se proposera bientôt comme assistant pour le magazine de son mentor, l’Interview.
Adolescent, il ne peut se résoudre à une route conventionnelle. Son obsession de la photographie guide ses pas, ainsi il sort quelques années plus tard diplômé de l’école des Beaux Art de Californie du Nord. Attiré par les métropoles et leur dynamisme ambiant, il fait de New York sa deuxième maison et s’inscrit à l’Association des Etudiants d’Arts ainsi qu’à l’Ecole des Arts Visuels.
LaChapelle encense Warhol
Là, il se découvre une passion pour l’artiste Andy Warhol. Ses expositions avant-gardistes, ses portraits sérigraphiés fascinent le jeune David, qui se proposera bientôt comme assistant pour le magazine de son mentor, l’Interview.
D’une vitalité inhabituelle, David LaChapelle s’inspire de sa propre vision de la vie pour la production de ses photos. Il décide ainsi d’utiliser des diapositifs de couleur afin de saturer de lumière ses portraits, et d’en faire ressortir un aspect électrique, quasi surréaliste.
Dans ses premières interviews, l’américain fait déjà part de ce besoin accru de divertissement, qui sera le fil rouge de sa carrière. "Je veux que mes photos soient exactement cela, drôles, et brillantes sur le plan visuel" dit-il. Pas de sérieux donc, David LaChapelle traite son art avec légèreté, et aime en extirper une énergie indomptable, devenue aujourd’hui sa carte de visite.
Un flash, un clip et ça repart
Attiré très tôt par le cinéma et les libertés prises par le courant surréaliste, David LaChapelle importe bientôt son art sur petit écran. S’associant avec les divas du micro telles que Macy Gray, Norah Jones, Joss Stone ou encore Christina Aguilera, LaChapelle s’attaque aux clips musicaux, et met son art en musique. Scènes chocs, visuels fantastiques, l’exercice semble réussir au jeune photographe, qui est bientôt appelé aux quatre coins de la planète par des producteurs.

Des succès à foison, une réputation à revoir
David LaChapelle touche enfin son rêve d’enfant en 2005, lorsque après être apparu dans Dig !, il réalise l’année suivante le film Rize, un documentaire sur les danses de la communauté afro-américaine de Los Angeles.
Autosuffisant, parvenu, prétentieux, malgré un géni artistique incontestable, David LaChapelle n’est pas toujours apprécié des critiques. Certains voient en lui le stéréotype même de « l’homme blanc riche ». Accusations, certes nombreuses, qui ne freinent pas pour autant l’entreprise LaChapelle. Récemment appelé par la marque de lingerie Passionata, le photographe au cliché d’or a réalisé une publicité en compagnie de la charmante Isabeli Fontana. La posant dénudée sur un cheval de glace, l’homme a su encore réchauffer de ses jeux volontairement sulfureux un public parfois encore un peu congelé.
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